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samedi 9 décembre 2017

Justice de l'enfance inique

Malmenés pas un juge pour enfants


Prudence avec les Services Sociaux

Un conseil avant de commencer à raconter notre calvaire avec les services sociaux. Faites très attention et soyez très vigilant si vous avez un ado un peu rebelle qui refuse de vous écouter, de vous obéir et n'a pour seul horizon que sa liberté sans frein. Vous pouvez alors devenir son ennemi à éliminer par tous les moyens. Même si vous n'avez rien à vous reprocher, et que vous êtes un parent responsable qui éduque correctement ses enfants, et je dirai même surtout si vous êtes un de ses parents qui éduquent correctement les enfants en leur inculquant des valeurs de droiture, d’honnêteté et de travail, alors vous aurez les pires problèmes. Les soucis vont commencer avec tous ceux sensés avoir pour moteur "l’Intérêt supérieur de l'enfant", les services sociaux, tous ceux qui gravitent autour de l'enfance, ainsi que la justice de l'enfance.

Si votre ado va se plaindre à son école, ou à qui que ce soit, vous aurez les pires problèmes de votre vie, même si vous n'avez rien à vous reprocher. Il suffit que vous assumiez votre rôle de parent responsable, en mettant des limites à vos enfants pour vous ayez la justice de l'enfance et tous ses exécutants aux trousses pendant des années. Un exemple bien concret: Si vous souhaitez inculquer à vos enfants la politesse, et le respect des adultes, parents et professeurs, et que l'une de vos chères têtes blondes ne l'entendent pas de cette oreille, l'enfant en question peut aller se plaindre à une assistante sociale et inventer toutes sortes de mensonges comme quoi leur mère ou leur père est tyrannique et le maltraite. Ces chers services sociaux font prendre la parole de l'enfant comme parole d'évangile et ne rien vérifier. Et croyez moi, le mensonge peut aller très très loin. Le dossier va être instruit contre les parents uniquement à charge. Tout ce qu'ils diront ne servira à rien.

A coté de cela, on constate autour de nous des situations familiales bien plus graves, qui sont connus de tous, y compris des institutions locales pour certaines, et rien n'est entrepris. C'est à se demander si le but tout compte fait des services sociaux ne serait pas de sauver les enfants maltraités mais plutôt de veiller à ce qu'un modèle éducatif soit appliqué en France, celui post soixante-huitard qui consisterait à interdire d'interdire et d'inculquer le laxisme, bref le désordre. Le mot éducation étant devenu un gros mot. 

L'Intérêt Supérieur de l'Enfant

Durant toute l'instruction de l'affaire, l'audience du jugement, ainsi que l'exécution de l'ordonnance prescrite par le juge, tous les professionnels gravitant autour de la famille tombée dans le filet des services sociaux, un terme va être mis en avant et servant à tout justifier. Répété à souhait comme un mantra pour convaincre les plus naïfs: L'Intérêt Supérieur de l'Enfant. Ce terme va servir à tout justifier, à excuser tous les agissements des S.S et du juge, mentir, manipuler, refuser des pièces à l'audience, et autres attitudes malhonnêtes. Tous les coups sont permis pour l'intérêt supérieur de l'enfant.

J'ai connu une époque où en France l'Intérêt supérieur de l'enfant était réellement pris en compte, où la famille était respectée et où l'enfant recevait dans son éducation les bagages pour affronter la vie et vivre en communauté. L'intérêt supérieur de l'enfant avait vraiment un sens et n'était pas un enfumage pour créer le chaos dans la famille, et donc dans la société. Lorsqu'il y avait un souci dans la famille, autrefois le curé ou le professeur, on rappelait aux uns et aux autres leurs responsabilités et leur devoirs, aux parents le devoirs d'assumer leurs enfants et de leur inculquer des valeurs de respect et d’honnêteté, aux enfants le devoir de respecter ses parents et de leur obéir.

Destruction de la famille et de l'enfance

Voici la doctrine des prêcheurs (services sociaux, éducateurs spécialisés, associations d'aide à l'éducation et prévention sociale, juges pour enfants) de l'intérêt supérieur de l'enfant, celle de l'Enfant Roi, de nos jours:

Il ne faut rien interdire aux enfants, mais seulement leur expliquer, et les laisser faire leurs expériences pour qu'ils découvrent par eux mêmes. Mon fils, je sais que tu te drogues, mais je ne t'interdit rien, je te laisse faire "ta propre expérience" pour que tu comprennes que ce n'est pas bon pour toi (en espérant qu'il comprenne vite avant qu'il y ait des dégâts).

Pour les décisions importantes les concernant, prendre leur avis et s'y tenir. Exemple: Vous savez pertinemment qu'une de ses relations est un délinquant et vous aimeriez, vous qui êtes un parent responsable, protéger votre enfant de cette union. Les aficionados de cette doctrine vous diront de ne pas interdire la relation mais seulement d'expliquer.

Tout ceci est bien entendu du grand n'importe quoi, et c'est grave.

L'enfant n'a pas la maturité ni l'expérience ni le recul pour prendre de sages décisions. C'est aux parents de trancher pour le protéger et d'assumer la responsabilité de leur choix.

On voudrait fabriquer de la délinquance et du chaos dans notre pays qu'on ne s'y prendrait pas autrement. Et notre jeunesse va mal, il n'y a qu'a suivre les actualités pour voir la direction que prennent les enfants en France.

Aujourd'hui, c'est comme si ceux qui détenaient les manettes du pouvoir législatif de l'enfance en France avaient comme projet de semer le désordre dans la cellule familiale, et de donner le pouvoir aux enfants.

Tout ce que je raconte là nous est arrivé dans ces termes et, comme vous l'avez remarqué, je ne cite aucun fait par prudence, car ces gens sont capables de tout. Ils détestent qu'on dise la vérité sur eux, qu'on dénonce leurs actions, mensonges et magouilles. Dans notre affaire, tous les coups ont été permis pour détruire la famille, y compris notre avocat qui était corrompu et vendu à la justice de l'enfance. Quand cette affaire sera terminée, je donnerai les faits exacts.

Je terminerai par un proverbe:

Ecclésiaste 10:16
Malheur à toi, pays dont le roi est un enfant.